Au gré de l'eau et de la brise

(repost... parce que le premier a pas marcher, et vu que «j'adore» refaire quelque chose que j'ai déjà fait m'a le refaire mais plus court)

La brise. Cette brise qui venait fouettait mon visage. Cette brise salée qui venait empourpré mes sens. Elle m'intégrait, elle me submergeait. À la proue de mon Imperator, comme une sirène, je dirige mon navire vers cette lande de terre qui s'étire devant moi et qui s'élève de plus en plus haut. La Scandinavie, grand pays nordique, se dessinait peu à peu devant moi. Et c'était ma destination, mon objectif. Dans la sérénité, je me retournai, et commençai à me diriger vers l'arrière du navire, tranquillement.

Lorsque finster se dirgeait à l'arriere de son bateau , il vit au loin un helicoptère approcher au dessu de l'océan.
L'hélicoptère continuais son avancé, elle était totalement noir, et stoppa au dessu de finster. La porte s'ouvrit...

J'ouvris la porte et vit Finster en bas, je ne m'étais pas trompé de direction. Je fis signe au conducteur du district 2 que tout était correcte. Je pris dans ma poche l'argent dû et lui donna, je lui lança un signe d'adieu et mis mes deux mains sur le bord de la porte. Finster et la bateau étaient à peu près à 8 mètres en dessous de moi. Je pris une inspiration et sauta.
J'atteris sur mes deux jambes d'un grand ''BANG'' au sol juste devant finster et j'entendis l'hélicoptère s'éloigner tranquillement. Je me releva tranquillement en tentant de voir si j'avais quelque chose de cassé: Négatif. J'attendis que l'hélicoptère ne fasse plus de bruit pour commencer à parler à Finster:
- Bien le bonjours capitaine, j'ai pas pris trop de temps j'espère, j'ai dû fair un détour pour avertir un ami du problème que nous avons au tibet. Et toi, ça m'a pris un moment te localiser, pourquoi te dirige tu vers la scandinavie ?

Cette décision de finster était loin de m'ébranler , je savais très bien qu'il prenait toujours des décisions sensé, ou du moins, réfléchis.

Je regardai cet homme mystérieux et intriguant avec respect. Il m'avait aidé autrefois pour obtenir ce navire et briser les corrompus, et même si les méthodes furtives et subtiles qu'il utilisait ne correspondaient pas avec mes valeurs, je le gardais en haute estime, après un bref salut et son introduction, je pris le temps de lui répondre :

-Ne t'inquiète pas pour ça, de toutes manières, nous ne sommes même pas encore arrivés. Mais je suis surpris, j'aurais pensé que tu aurais su la raison de mon voyage ici. Mais ce n'est pas grave, tu dois être occupé à bien d'autres choses en même temps.

Je laissai une pause, car je savais que je m'aventurais dans une description détaillée. Je recommença :

-La langue de terre scandinave est réputée pour son minerai solide, riche, diversifié et abondant. C'était un puissant moteur d'industrie de l'Europe juste avant que les Corrompus ne viennent envahir toute la Norvège. En perdant ce territoire, c'est toute ces ressources que nous avons perdu. Mais les Implacables n'ont pas cru bon de leur reprendre. Oui, pour l'instant les mines Anglaises nourrissent la résistance, mais elles manquent durement de diversité, et surtout, elles s'épuisent rapidement. Ensuite, j'ai appris par radio, car ça fait bientôt deux mois que je sillonne cette mer, qu'un groupe d'humain vivait toujours en Norvège, caché, dans un village au creux des montagnes. Ils ont des armes. Ils ont des ressources. Ils ont des hommes. Mais ils n'ont aucun chef. Tous craignent les Corrompus. Il faut réveiller cette rage, aller les chercher. Et c'est entre autre pour ça que j'ai besoin de toi. En résumé, mes objectifs sont de reprendre au moins deux des trois principaux ports de Norvège, afin d'avoir un puissant pied à terre. Nous irons raviver les Norvégiens éxilés pour constituer une milice d'intérieur, et boutter les Corrompus de cette terre. Ainsi, nous aurons le contrôle de la mer Baltique et une main mise sur le minerai norvégien, deux choses que les Ombrageux iront exploiter quand ils voudront prendre l'Angleterre, chose que je redoute, car si les Implacables tombent, c'est la résistance au complet qui va s'écrouler. Si je contrôle ce territoire, cela me permettra en même temps d'avoir un «moyen de pression» sur les forces de résistance, et ainsi me permettre d'influencer les décisions de ces implacables, car personnellement, je les trouve trop inactif et passif en cette période décisive.

Reprenant mon souffle et me retournant, je finis :

-Bien entendu, tu aurais aussi ta part du butin. Étant donné que tu préfères rester dans l'ombre, je ne pense pas que tu veuilles un poste en premier plan, mais je suis sûr que tu peux vouloir quelque chose de cette conquête. Tu n'as qu'a demander... Alors, ai-je ton support?

Je laissa paraître un sourrir en coin lorsque finster m'expliqua toute la manoeuvre. Il était vraiment quelqu'un de remarquable, peut-être qu'un jour son district allait être le plus puissant en ce monde. Contrairement aux autre chefs de district, mon capitaine utilise cet apocalypse à son avantage: prendre de nouveaux territoires n'aura jamais été aussi facile.
Finster ne tente pas de survivre, il joue aux échecs en considérant toutes les actions de ses adversaires. Comment de temps avait-il étudié la situation du monde ? Les cartes ? Personne ne le saura j'imagine. Poser la question serait inutile et de toute façon: je lui fais confiance.

Son plan était des plus sensé, dans tout les aspects de celui-ci il avait quelque chose à gagner: La survie du monde, une meilleure amitié politique avec les implacables, de meilleures ressources, un territoire stratégique sans parler de ce à quoi je ne pense pas... qui sais ce qu'il se passe dans sa tête.

Je croisa les bras lorsqu'il me demanda mon aide et me proposa un butin. Je le considéra longuement puis lui repondit:
- Mon aide, vous êtes sûr de l'avoir: Ça fait des lustres que je n'ai pas entendu un aussi bon plan d'action venant d'un chef. Et pour le butin...

Je m'accota sur une paroie de cabine du navire:
- Je crois que vous savez très bien ce que je veux: que vous acceptiez toujours que moi et l'ancien district de la corruption habite et aide le district naval. Et que vous veillez sur eux comme sur votre propre district: ce qui ne change rien à notre entente du debut, et si c'est pour rester ainsi alors le plan que vous proposez avantagera autant mon peuple que votre district , capitaine.

J'étais heureux. The night était un allié précieux et redouté. Une pièce importante d'un échiquier complexe et sans limite. Son assurance me peinait, par contre, dans le sens où je ne pouvais pas tout lui dire, tout lui avouer. Je sais que je pouvais avoir confiance en lui, mais je suis un homme prudent, et la prudence est une chose que je préconise. Tournant brièvement la tête vers la terre, je vis que nous approchions de Bergen, ce fameux port norvégien. Je ne savais pas ce qui nous y attendait, mais peu importe qui ils étaient, je savais ce qui les attendaient. Je lâcha la conversation avec The Night quelques instants sans me justifier, et m'approcher du mur près de nous. Je cognai brutalement dans la porte, avec toute la force de mon attirail. Je ne l'enfonçai pas, mais ça ne passa pas loin. Le bruit résonna, et l'instant d'après, une cloche bruyante cria le rassemblement. Le navire se mit en branle. Tous se paraient. Les hommes sur les ponts inférieurs sortaient de leurs cabines pour se rassembler sur la place centrale. Je revins vers The Night :

-Votre peuple et mes hommes sont de la même branches. Je n'y vois aucune distinction. L'un vit grâce à l'autre, et le contraire est tout aussi vrai.

Je lâcha Night du regard et me retourna vers la Norvège de plus en plus grandissante.

-Avant de partir à la recherche des résistants, il faut avoir notre pied à terre. C'est capital. Bergen le sera. Il faut prendre cette ville avant tout. Je ne sais pas combien ils sont. Je ne sais pas qui ils sont. Je ne sais pas comment ils sont. Tout ce que je sais, c'est que j'ai 8000 hommes et deux navires.

«Que Dieux nous protège. Que vaut 8000 contre des milllions.»

-Comme tu peux le voir, la ville est construite dans une baie, et celle-ci doit être protégée. Je localisé, un peu plus tôt, que l'Hôtel de ville se trouve près du bord de l'eau, au fond de la baie. C'est un très grand bâtiment, qui de loin, semblait facilement défendable, mais, à toute allure, semble imprenable si la baie est protégée.

Nous approchons de plus en plus de la rive, à peine un kilomètre.

-L'imperator peut prendre des balles, des boulets, des obus, et même quelques torpilles si le besoin s'en fait sentir, mais l'Honor n'a pas la même cuirasse.

Je touchai mon ventre métallique, comme s'il y avait eu un genre de contact entre les deux.

-Dans le plan, toi, et une escadrille d'environ 100 hommes, débarquerez à terre, un peu à l'écart de la ville juste avant la baie. Votre objectif est de prendre l'Hôtel de ville. Juste avant nous foncerons dans la baie avec l'Imperator pour attirer l'attention. Je veux que leurs feux soient braqués sur nous et non sur vous. Choisi tes hommes. Tu agiras dans la discrétion et le silence. Idéalement, personne ne doit savoir que tu es là avant d'être au coeur de l'hôtel de ville, mais de toute manière, je ne pense pas que la discrétion soit un problème pour toi. On se retrouve à la mairie le plus vite possible. Tu dois tenir ce poste. Une fois que nous aurons pied à terre, le reste est une vraie farce. Il y a quatre chaloupes prêtes à l'arrière du bateau pouvant prendre 25 hommes chacune. Ce n'est pas du luxe, mais ça flotte, ça ne fait pas de bruit et ça se coule bien.

Je me retournai finalement vers lui :

-Bonne chance, mon ami.

Et je partis d'un pas assuré vers la place centrale. Les martèlements de pied avaient arrêtés, tous étaient rassemblés. Plus fort je lançai à l'intention de Night :

-Je dois réveiller la rage de notre race!

Avant de monter l'escalier, disparaissant de la vue de Night.

-Votre peuple et mes hommes sont de la même branches. Je n'y vois aucune distinction. L'un vit grâce à l'autre, et le contraire est tout aussi vrai.

C'était ce que je voulais entendre. Par la suite finster se mit à expliquer son plan en détail, pensé longtemps à l'avance comme je me dois de le remarquer encore une fois. Il consistait en une tactique de guerre de base qui se révèlerait mortellement efficace dans cette situation: détourner l'attention pour prendre un point clé. L'Hotel alors important, il sera facile de s'y rendre car les créatures seront facilement appatâble dû à leurs Quotient intellectuel moindre.

C'est alors que finster mit le plan à execution m'indiquant la marche à suivre. J'aquiesca et lorsqu'il disposa je me mis en marche. Je descendis dans le dernier étage de la calle du navire et m'arrêta devant la porte de la corruption : derrière cette porte se trouvait ce qu'il restait de mon district. Je cogna une seule et unique fois. Après une minute d'attente je recogna une fois et la porte s'ouvrit immédiatement.
C'était Falk qui m'avais ouvert, c'était mon second depuis notre arrivé sur le bateau et il faisait bien son travail. J'entra dans la pièce. C'était une pièce sombre avec des chandeliers accrochés au plafond. La salle n'était pas très haute et ne disposais que d'une table et des chaises en bois , maintes portes décoraient les murs laissant un chemin sur les autres pièces plus importantes de la calle de la corruption. Falk ferma la porte:

- Heureux de vous revoir maitre.
- Rassemble tout les membres ayant le titre d'assassin et plus haut seulement Falk.
- Tout de suite maitre

Falk partit à la course en direction des dortoirs. J'en profita pour aller dans la porte du fond qui ammenait directement dans la grande salle, celle-ci était beaucoup plus éclairé que les autres mais le plafond était toujours de la même hauteure. Une grande table circulaire entouré de chaises prenait toute la place. Je pris la chaise en face de moi et m'assis en attendant que Falk fasse son travail.

Je n'eux qu'a attendre quelques minutes pour que tout le monde arrive en hâte. Mes assassins étaient placés en sorte de prière sur la table, les yeux fermé: ce qui signifiait qu'ils étaient prêt à écouter. Je me leva sans un bruit et pris la parole:
- Bonjours mes frères.

Tout les assassins s'assirent dans une position normale et tournèrent leurs regards vers moi:
- Je viens prendre la parole, aujourd'hui, pour vous partager une tâche importante qui m'a été assigné par le capitaine Finster Initheriel. Comme vous le saviez déja nous faisons actuellement cap vers la norvège , un lieu déserté depuis longtemps. Mais ce lieu se révèle être un point stratégique autant du point de vue géographique que politique, c'est ce que finster à découvert après de longues études des cartes. Mais un problème s'impose, nous ne savons pas ce qui nous y attends: pour avoir perdu le contact avec eux Ils ont probablement dû se fair attaquer par des corrompus, ou pire: des ombrageux. C'est pourquoi notre capitaine à monter un plan d'assaut simple mais efficace qui nous permettra de prendre la ville suremment et rapidement en un rien de temps. C'est la tactique de l'appât.

Je marqua une pause , ce qui signifiait que si quelqu'un s'y opposait il avait le pouvoir de se déclarer et s'expliquer:
- Avec son bâteau, finster va attirer l'attention d'éventuels navires corrompus pendant que nous tentons de passer innaperçus avec des barques. Le but de notre mission est de prendre l'hotel de ville, qui logiquement sera infesté de corrompus...ou d'ombres si il y a des ombrageux dans les environs: C'est un batiment en hauteur qui nous permettra d'avoir un point de vue général sur la ville tout en ayant un point de débarquation pour les troupes de l'imperator.

Je marqua encore une pause, pour laisser le temps à mes apprentis d'assimiler l'information:
- Pour ce qui est de l'approche de la mairie: nous allons nous séparés en escouades de 4 personnes. Une fois arrivé sur terre nous allons passer par le plus de chemins différents possibles et entrer par des portes,fenêtre, passages différents afin que l'effet de surprise soit intense. De plus ça nous permettra d'avoir un rapide conte rendu des effectifs ennemis à l'intérieur et près du batiment... En marche.

Tout les assassins se levèrent en même temps. Je donna rendez vous aux barques et remonta sur le pont. Je vis finster qui donnait des ordres à son équipage et sans remord je l'interompis:
- Tout est en place Capitaine.

Marche par marche, je montai l'escalier de fer. Il n'avait rien de spectaculaire, rien de magistral, rien de beau. Mais je savais qu'il serait bien pire d'ici la fin de la journée. Après quelques instants, j'atteint le sommet de l'escalier, arrivant sur une sorte de podium. En dessous il y avait, de toute sa splendeur, les hommes loyaux au district 7, allignés, arme à l'épaule, fier... dans le vent. D'où j'étais, j'en dénombrait pas moins de cinq milles, mais je savais qu'il y en avait bien plus. Ils attendaient, là, tous, que je fasse un discours, que je lâche les mots qui les déchaînerais. Je ne les fis pas attendre.

-Mes frères! Mes soeurs! Mes amis! ... Nous avons préparé ce voyage depuis plusieurs mois. Nous avons forcé pour préparer ce jour. Et maintenant... IL est arrivé! Maintenant, Nous Sommes sur les Côte de la Saint-Norvège. Nous Sommes sur les côtes des terres d'HOMMES! Nous Sommes sur des Côtes ENLEVÉS. Nous Sommes ici pour les LIBÉRER! Nous sommes ici pour représenter la JUSTICE! Nous sommes ici pour éliminer LES CORROMPUS ET TOUTES LES AUTRES ATROCITÉS AYANT ENVAHIES CES TERRES. ET NOUS HOMMES DU DISTRICT DES MERS, METTRONT ENFIN UN PIED À TERRE!

Ce fut le mot de déclenchement. La flamme sur la nappe d'huile. La foule sous mes pieds, s'emporta dans la liesse. Ils étaient prêts. Ils étaient forts. D'un geste fluide, je levai le bras droit pour calmer la foule. Peu de temps après le silence revint. Je vins pour continuer, mais une voix m'interrompu en arrière :

- Tout est en place Capitaine.

Night était là, derrière.

«Parfait».

Même s'il n'était pas sur la passerelle, les hommes pouvaient le voir.

-Messieurs! Mesdames! Nos alliés, les hommes de la corruption, se joignent à nous pour cette assaut. NOUS CROYONS EN EUX, COMME EUX CROIENT EN NOUS! C'EST UNI QUE NOTRE RACE SERA SUPÉRIEURE, ET JE LE DÉCLARE SUR MA PAROLE : MON ÂME NE VIVRA PAS EN PAIX, TANT QUE CHAQUE PERSONNE DE CHAQUE FAMILLE NE SERA PAS VENGÉ, TANT QU'UNE SEULE PERSONNE SOUFFRIRA, QUE CE SOIT DE LA MAIN D'UN CORROMPU, OU D'UN AUTRE HUMAIN! ET TANT QUE LA JUSTICE, LA PAIX, ET LA SÉRENNITÉ NE SERONT PLUS QUE LES DERNIERS JALONS DE NOTRE HUMANITÉ!

Nouvelle vague d'acclamations. Night n'aimerait surement pas ce petit bout de discours le mettant en premier plan, mais il me le pardonnera. J'espère. C'est avec assurance que je finis :

-Maintenant, prenez vos postes. Soyez à l'affut, et armez-vous de volonté, courage et sagesse, et BRISEZ LE PORT DE BERGEN!

Cette fois, c'était fini. Tous s'éparpillèrent, sans relâche. Ils allaient se mettre à leur poste. Je descendis fièrement du palier, allant près de Night.

-Partez immédiatement. Les forces ennemis seront braquées sur nous dès la première torpille. Ne perdez pas une seconde. Je descends à terre dès que cela est possible.

Sur ce, je partis vers ma cabine, à l'avant, pour diriger efficacement toute cette opération.

«La bataille commence...»

Peu après que j'aille avertis finster il me repondit avec un hochement de tête. Par la suite contre toute mes attentes il fit acclamer la foulle à notre egard: des assassins. Sur le coup je recula d'un pas mais l'intention y était et de plus dans cette nouvelle ''maison'' nous nous sentions utiles et accepté.
Tout les assassins de mon district , grâce à la bonne influence du capitaine, utilisaient de plus en plus leurs compétences pour le bien. Et ce que nous allions fair aujourd'hui ne fesait pas exception. Tant qu'a moi... le blades m'ont remis sur le droit chemin mais je crains que si ça n'aurais été de Finster j'eus dû retourner dans l'ombre pour continuer à fair vivre l'héritage que mon maitre m'a laissé: Le district de la corruption.

Je me retira mais finster finit rapidement son discours, il vint me rejoindre pour me dire:
-Partez immédiatement. Les forces ennemis seront braquées sur nous dès la première torpille. Ne perdez pas une seconde. Je descends à terre dès que cela est possible.

Mon capitaine ne prit pas plus le temps de parler et partit aussitot aux commandes de la manoeuvre. Je pris une grande inspiration en songeant à la bataille qui allait bientôt commencer. À quoi fallait-il s'attendre? Énumérer les dangers ne donnait qu'un apperçus. Malgré le fait que je suis convaincu que l'imperator tienne le coup, l'honnor pourrait toujours couler et mes hommes seront-ils suffisant si le danger s,annonce pire encore que prévu? Les questions ne manque pas: mais elles n'ont pas leurs place dans un moment aussi critique.

Je descendis les marches et alla en arrière de l'imperator où se trouvait les 90 et quelques assassins que j'avait commandé. À ma vue ils se turent et je stoppa pour leurs adresser la parole une dernière fois:
- Je suis content d'avoir le temps de vous parler en ce temps de guerre, ce n'est pas un privilège que tout le monde bénéficie que d'avoir le temps de discuter. Je tenais seulement à vous dire que peu importe si vous i laissez la vie durant cette mission, que nous nous souviendrons de vous comme il se doit: je sais que je ne suis pas un orateur né, mais c'étais ma manière de vous dire que je tiens à chacun d'entre vous... maintenant j'ai quelque chose à vous donner avant notre départ.

Je me dirigea vers la gauche , longeant le mur , il y avait un grand sac brun que j'ouvris. Je glissa ma main à l'intérieur et en ressortis un walki-talki:
- Chaque escouades devra porter ceci, ça nous permettra de garder contact. Ce dispositif n'est pas discret comme vous le savez tous mais il est innévitable, celon mon avis, que nous auront recours à la force plutot qu'a la discrétion. Chaque chef d'escouade prend un walki-talki et nous partons.

Chaque chef prirent alors un système de communication et nous étions pret. Je pris mon élan et sauta par dessu bord . J'atéris, après une chute imprésionnante, dans une des embarcations qui étaient sur l'eau juste en dessous de nous. Le reste de mes diciples m'imitèrent et tout le monde prépara leurs bateau. J'actionna le moteur du mien et l'embarcation se mit aussitot en route.

Suivit du reste de mes assassins nous avons contournés par la gauche des navires et à environ 100 mètres de la côte nous avons stoppé les moteurs pour fair une entrée moins bruyante. Nous avons rammé comme des professionnels dû à L'énergie du stress et nous sommes arrivés aux côtes sans trop d'encombres.

Nous nous étions stoppé sur une plage à l'ouest de la ville: tout près de l'hotel de ville. Tout le monde dégaina leurs armes après avoir caché les bateaux et on traversa la plage pour arriver en ville. Je pris mon walki-talki et envoya un message dans la radio de bord de Finster , qui ne devait pas s'attendre du tout à cette manoeuvre de communication de ma part:
- Capitaine, nous avons réussis à entrer en ville sans encombre, vous pouvez commencer à tirer.

Ma marche était enclenché. Mon pas décidé et ma stature solide brisaient cet air ambiant qui m'entourait durement. Encore une fois, je montai un escalier métallique, mais cette fois, il tomba sur une porte, que j'ouvris brusquement. Il tomba sur une salle, pas tellement grande, mais bien assez spacieuse pour moi. Un banc. Un tableau de bord. Des centaines de commandes. Des milliers de boutons. Un gouvernail. Une seule et immense fenêtre, tel le plateau d'un échiquier. En avant, la cité se dessinait sous tous ses attraits, ses forces, comme ses faiblesses. Le port, assez rudimentaire, n'était occupé que par quatre navire, dont un seul de guerre. Il ne me fallu pas de temps. À côté de moi, la radio me transmit une voix racleuse, mais de laquelle on comprenait très bien ce qui était dit :
- Capitaine, nous avons réussis à entrer en ville sans encombre, vous pouvez commencer à tirer.

On ne réponds pas à ce genre d'appel. Ou du moins, pas en mots. À ma droite, alors que je m'assoyait à mon siège, une grande manivelle monté fit la cible de ma main. D'une brève force je la tira. On entendit partout à travers le navire les chambres des torpilles, sous l'eau, qui s'ouvraient tranquillement, solonellement. 10 secondes. 20 secondes. 40 secondes. 60 secondes... C'était partit. Tout droit, le cuirassier norvégien croulait déjà dans l'effroi, lorsque mon doigt effleura un bouton noir, très petit, mais destructeur.

Un silence.

Trois filets partirent dans l'eau. Des têtes que l'on pouvait suivre à distance, qui s'éloignait rapidement vers leur objectif. Elles étaient furtives. Silencieuses. Quand d'un seul coup, elles foncent.
Le feu d'artifice fut magistrale. L'explosion, titanesque. La structure de métal flottante s'envola, en morceaux, partout autour. D'un seul souffle, je regardai ce premier affront avec jubilation... seulement quelques secondes. Alors que les flammes commençaient à descendre, les débris s'Éloignèrent dans l'eau, et je vis clairement, même s'il était très loin, un corps. Le reste d'un corps. D'un corps qui n'était pas humain. Un corps mort. Un corps ... corrompu.

«Ils sont ici...»

J'attendis la réponse un petit moment, mais j'eus vite réponse à ma question silencieuse: J'entendis une grosse explosion, et puis une autre. Je sauta sur la plage et regarda en direction de la mer. Je vis le bateau à finster toujours intact et des flammes dépassant les batiments en direction du port. Je souris en coin: Il avait déja abbatu un bateau, j'imagine que c'était le signal de départ. Je revint rapidement vers mes assassins qui attendaient toujours le signal, je hocha la tête et tout mes diciples partirent à la course en escouade dans la ville.
C'était simple, il fallait traverser rues et l'hotel de ville était là. Près de l'eau. Je regarda mes 2 coéquipiers et ils montrèrent qu'ils étaient pret. Falk faisait partie de mon escouade et j'en était fort satisfait; c'était un second remarquable.
Je pris alors les devant sans trop aller vite puisque mes diciples avaient de la misère à me suivre. Tout le monde empruntais un itinéraire semblable mais différent, moi et mon escouade nous allions en prendre un un peu différent et possiblement dangereux: le milieu de la route proche du port. Prendre ce chemin allait probablement attirer l'attention sur nous aussi, et il serait possible de recevoir un quelquonc projectile de l'imperator: je ne connaissais pas l'artillerie complette de celui ci.

Nous prirent donc la route près du port, des centaines de corrompus nous y attendaient.Il était important malgré tout d'en éléminer le plus possible pour éviter qu'ils prennent les bateau et/ou servent de renfort pour l'hotel de ville. Moi et mon escouade on se cacha sur le coin d'un batiment. Je me retourna vers eux:
- Les corrompus, il fallait s'y attendre après tout... écoutez nous avons pas le choix d'entrer dans le tas. Je prend les devant, et vous assurez mes arrières. Ils ne sont pas plus que 1000 la dedans... mais on se les prendra pas tous. Quand finster tira sur le deuxieme bateau nous profiterons de la cacophonie générale pour se planquer à nouveau mais à l'hotel de ville en esperant que nos alliés auront prit le point de contrôle. À l'attaque.

Je regarda les corrompus , regarda mes hommes puis m'élança dans la bataille.
Le bruit de mes pas ne fit aucun bruit, ce qui surpris les corrompus c'est mon premier coup d'épée dans l'épaule d'un des leurs. Il grimaça en se retournant vers moi, je sortis mon épée de lui à vitesse éclair et lui trancha la tête. Mes coéquipiers arrivèrent et commencèrent à tirer, slasher et frapper les corrompus.

3 corrompus se lancèrent sur moi. Le premier tanta de me frapper au visage, ce que j'évita aisément. Je lui rendit la pareil mais avec mon fusil, je lui accota sur la tempe et tira ce qui la tua sur le coup. Le deuxieme tenta de me fair une charge et me ramasser à la manière d'un footballeur. Je l'esquiva et lui trancha la tête au passage à l'aide de mon épée. Le troisième voulu me mordre. Mais lorsqu'il m'aggripa je rangea mon fusil rapidement et lui aggripa le crane au complet a l'aide de mon gant assassin maitre. J'enfonça mes griffes dans son crâne, donna un coup d'épaule . Il me lacha ce qui devait être sous l'emprise de la douleur et je le frappa au visage, ce qui lui fit pas grand chose. Mais je le refrappa à 5 reprises avec mon poing gauche sur le nez: ce qui eut pour effet d'enfoncer son os dans le cerveau. Il figea et je le planta mon épée dans le ventre.

Les pièces avaient commencé à avancer. Dans l'ombre de ma salle, j'observais le dernier flambeau de fumée s'élever dans les airs. Les torpilles prendraient 10 minutes à se recharger... au moins. Il fallait tenir d'ici là. Déjà, sans ordres préavis, des hommes s'emparaient des mitrailleuses sur les tours, et des canons modernes. Mais une surprise me prit au dépourvu. Le bateau marchand, sur la droite, largua les amarres. Tranquillement, il s'éloigna des quais. Sur le ponts, des dizaines de vies... si cela pouvait être dit ainsi, grouillaient, rageant d'une colère sans limites. Des hublots sortirent des canons. Ce n'était pas un navire marchand. Ma confiance m'avait trompé. Ils avaient camouflés des armes.

«Des corrompus ne pensent pas à faire ce genre de stratégie. Il y a un ombrageux dans la ville, c'est clair.»

Aussitôt, j'emparai mon talkie-walkie, et dit de forte-voix :

-Nous ne pourrons accoster. La guerre sur l'eau n'est pas prête d'être terminée. Il y a un ombrageux. Au moins un... Prenez garde...

Sur ce, je laissa mon talkie-walkie sur le bureau, et sortit de la salle. Ma main passa sur ma lame, propre, mais affamée...

«Tu ne te reposeras pas aujourd'hui, Initheriel...»

Deux autres chargèrent dans ma direction. Le premier, après avoir resortit mon arme à feu, je l'abbatai à distance en lui tirant une dizaine de balles provenant de mon revolver assassin. Il en reçu une grande partie et tomba au sol, mort. Le deuxième me lança un coup de poing que j'évita aisément encore une fois. Par contre, contrairement aux autres, il me lança un deuxieme coup de poing, je l'évita de près et utilisa mon pas d'esquive sur la gauche pour me retourner avec force et couper le corps en deux d'un coup.
Tout à coup une voix se fit entendre de mon audiocommunicateur à l'intention de tout les membres du district de la corruption:
-Nous ne pourrons accoster. La guerre sur l'eau n'est pas prête d'être terminée. Il y a un ombrageux. Au moins un... Prenez garde...

Alors il y avait bien un ombrageux. Nous allons devoir quadrupler de prudence. Je me retournai brièvement vers mes coéquipier pour constater qu'ils se tenait en groupe et qu'ensemble ils se débrouillaient bien. Je décida alors de continuer mon avancé seul. Je rechargea mon arme et me mis à tirer sur les 10 autres corrompus qui me chargeais.Les balles ne furent pas très efficaces, des jambes et des corps furent touchés mais les têtes étaient toujours intactes. Alors mon action ne fit que n'en ralentir quelques uns pour un certin moment.
Le combat devenait de plus en plus serré, de plus en plus de corrompus étaient alertés de notre présence et ils approchaient à vive allure.
Nous étions pas en bonne posture pour ce qui était de la stratégie, mais pour le combat je m'inquiète pas pour nous.

Le bateau marchand qui avait décollé semblait avoir des canons. C'était donc ça que Finster fesait allusion. Notre capitaine sera en mesure des abbatres mais je m'inquiète quand même pour le Honnor qui risque d'être coullé si l'imperator ne le protège pas assez efficacement.

Je réfléchis à la situation quelques instants mais les 10 corrompus étaient arrivés sur moi. Je décapita le premier d'un geste brusque et sec. Le deuxieme tenta encore une attaque frontale avec coups de poings. Je dévia son premier coup avec mon revolver et lui enfonça mon épée dans le ventre, la retira rapidement et il tomba au sol. Le 3ième et 4ième sont arrivé en même temps et ont fait une attaque combiné (bizarre pour des corrompus) le premier fit son coup de poing classique que j'esquiva et tenta de me mordre par la suite. Avant que sa bouche atteigne mon épaule je lui fracassa mon épaule contre les dents et il recula.
Au même moment, le 4ième corrompu fit une charge par la gauche. Je la vit au dernier instant, lança mon épée dans les airs et mis ma main sur son Épaule pour passer par dessu carrément en levant mes jambes en lair. Je retomba de l'autre bord et il tomba au sol(220 d'agiletés). Je rattrapa mon arme et acheva le 3ième qui revenait déja à la charge. Je tira lui qui venait de tomber. pendants que les autres arrivaient pour m'entourer je cria à mes coéquipiers:
- COURREZ AIDER LES AUTRES À L'HOTEL DE VILLE JE M'OCCUPE D'EUX

Falk voulu protester mais il hocha la tête et ils fuirent vers le point important de la mission.
Les corrompus étaient sur moi.
Je tirai 5 balles sur le corrompu le plus proche et je le toucha 2 fois à la tête ce qui le tua sur le coup. Me restant assez de balles, je fit un saut arrière puissant et tira au même moment sur le 6ième corrompu. Le bas du ventre fut touché à 4 reprises ce qui fut assez pour le mettre au sol: mais pas pour longtemps. Je repris pied et le 7ième et 8ième étaient sur moi. Je trancha le bras du 7ième tout en esseyant d'esquiver le coup du 8ième: mais la manoeuvre avait été trop incongru. Mon pied gauche glissa et je reçu un coup de poing puissant sur la gueule. Je fut propulser vers la gauche mais je fis une roulade au sol dans le sens inverse des mes adversaires ce qui me permis de reprendre l'avantage du combat.
Je tirai les 6 balles restantes dans mon revolver sur le 8ième corrompu et il en reçu dans le coeur et la tête: il tomba au sol. Lui avec le bras coupé était enragé au plus haut point et courra à une vitesse phénoménale pour me dégommer. Je m'accroupis au sol et il trébucha sur moi, tombant tête première sur l'asphalte. Je tira 1 coup de fusil dans sa tête.
En me retournant vers le port je vis encore une armé qui s'en venait vers moi:
- *soupir* Ça ne sera pas aussi facile que prévu, ni pour toi ni pour moi , Finster

Je pris mon walki-talki et contacta Falk:
- La situation ?

Le signal grichait mais repondit:
- Mal ,maitre,il y a toute une armé de corrompus la dedans et il y a quelques ombres mineures qui repousses nos meilleurs assassins. Venez aussitot que vous le pouvez *bruit de combat*
- Compris

Je contacta finster avant que les corrompus m'arrivent dessu:
- Capitaine, je suis actuellement seul sur le port , j'évalu à 800 enragés la troupe qui me charge actuellement. Je ne pourrai donc pas arriver en support pour ceux qui tente de pénetrer dans l'hotel de ville et selon eux la situation est plutot désespéré: Envoyez des hommes en support à l'hotel de ville si vous en avez les effectifs , capitaine

L'ombre avançait. De son immensité, le navire voguait faiblement vers nous, alors que les canons continuaient de sortir des hublots. Ça ne serait pas facile. Descendant l'escalier, j'en vint à arriver sur le pont, où tous les hommes s'apprêtaient.

-Je veux 2000 hommes prêts à débarqués sur terre dès que ce navire est tombé : hurlai-je assez fort à un officier qui passa près de moi, et qui s'y dépêcha à l'instant.

Je changea aussitôt de direction, m'en allant vers la proue. D'un pas déchaîné et guidé, je passa la tour de contrôle, et fonça vers l'avant du navire. Là, dix hommes chargeaient les deux canons à obus qui armaient l'Imperator. Aussitôt près d'eux, je lança :

-Brisez les ponts du navires, c'est le plus important. Ils ont du regrouper beaucoup de leurs effectifs là, et je veux qu'ils prennent le fond.

Je m'approchai de l'autre canon, et continua :

-Quant à toi, tu vas me tirer la tour du fond du navire. S'il y a du commandement, c'est là qu'il est et je veux qu'il tombe.

Je restai là, bien préparé à voir chuté ce navire. Je m'imaginais que ces tirs n'allaient pas être destructeurs, mais au moins ils auraient de l'effet. Le deuxième canon fut le premier prêt. Après un court check-up, il partit un décompte.

-3...

Tout semblait se stabiliser. Le canon avait préparé son angle de tir en lobe, pour causer des dégâts sévères.

-2...

Tout était prêt.

-1...

La terre, ainsi que l'eau, trembla de toute sa consistance. Un énorme choc, qui failla me faire tomber, mais encore pire, qui fit tomber un des matelots, qui s'accrocha dans le canon. Celui-ci fut destabiliser, mais le tir s'effectua... beaucoup trop haut. L'obus explosif partit vers le ciel... dépassa le navire marchand. J'estimai sa trajectoire, et prit en un instant mes lunettes de rapproche. Je le vis dans la rue, se battant de toute son agilité, près du point d'impact.

-Seigneur... murmurai-je... pousse-toi Night...

Mon appel finit , finster ne repondit pas: Comme toujours. Ça voulait simplement dire qu'il avait reçu le message, le silence est une vertue de l'assassin et même Finster Initheriel: commandant de la flotte naval , le comprenait.
Je rangeai mon audiocommunicateur et redégaina mon arme de tir. Il y en avait de plus en plus qui courrait dans ma direction: Plus de 800, je dois y arriver, je n'ai pas le choix j'ai endossé cette responsabilité seul et si c'était le prix à couter que de mourrir pour que mes assassins atteignent le point de contrôle et bien qu'il en soit ainsi.
Je me mis en position de combat: Épée en arrière prête à fair une attaque efficace avec élan et revolver assassin pointé vers la horde de fous enragés. Leur charge s'avérait de plus en plus rapide et il allaient se retrouver sur moi dans...
3..
2..
1..

Je tira 2 coups, 1 dans la tête et une raté. Je fis un bond vers l'arrière et continuai à tirer, 8 balles en tout: 5 qui ont touchés je ne sais trop où et le reste perdu dans le tas. Il faut dire qu'il était difficile de ne pas toucher avec tout ces corrompus. Il y en avait trop, je rangeai mon arme à feu et pris mon arme blanche à deux mains. Je balançai mon épée devant moi et tranchai la tête du premier, je m'élançai par en avant et donna un coup de tête à celui qui se tenait devant moi.
J'étais dans une très, très , très mauvaise posture: LEs corrompus m'entourais carrément. Je balançai mon arme en rond et profita de la distraction pour planter mon épée dans le ventre de l'un d'entre eux. Je me retournai de bord et tranchai la tête de celui qui se tenait derrière moi. Je recevis un coup de poing au ventre et un au visage ce qui m'empêcha de voir quoi que ce soit pendant quelques secondes. Lorsque l'embrouillement de ma vue fut partie un enragé me sauta sur le dos et me mordi le cou. Je réagis instantannément et le propulsa par en avant et lui écrasa la tête contre le sol à l'aide de mon gant assassin.

Malgré la douleur intense de tous ces coups je tranchai carrément en deux le corrompu qui allait m'attaquer à l'instant sur ma droite. Je profitai du moment et me mis à décrire des arcs avec mon arme à une vitesse fulgurante . Ça fit reculer les corrompus que quelques instants: il étaient maintenant les 800 autours de moi. l'un revint à la charge et je lui tranchai le genou pour qu'il tombe au sol et ensuite je lui ai coupé le cou. On m'aggripa le bras , le corrompu responsable me donna un coup de poing d'une puissance incroyable sur le coude de mon bras déplié.
Crac.
Mon bras cassé.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

La douleur et la furie du combat m'envahissai. Mon bras gauche devint mou, ma poigne sur mon épée se ressera tellement que du sang commença à couller de ma main. Avec une force jamais vue jusqua présent chez moi je balançai ma lame en demi cercle devant moi et tuai deux corrompus d'un seul coup. Je me retournai et reserva le même sort à mon aggresseur: Je lui enfonçai ma lame dans le crâne. Je lui donnai un coup de pied pour que ma lame se retire et tranchai le bras juste a temps d'un autre corrompu qui sortait du cercle d'ennemis que j'avait créé.
Gagnant de la confiance de groupes ils se mirent tous à charger en même temps, me voyant blessé. J'esquiva une partie des attaques me recevit un coup de tête sur le nez ce qui me fit saigner de celui ci.

Lorsque j'entendis un sifflement dans l'air. Je me retournai et: Un obus se dirigeais droit sur moi.
Tout ça faisait partie du plan de finster? Je ne crois pas. C'était à moi de sauver ma peau.

J'évitai un dernier coup de poing et roula au sol ce qui déconcerta mes adversaires. Je sautai dans les airs et tomba sur la tête d'un ennemis pour refaire un bond pour arriver encore plus loin: J'allais peut-être m'en sortir . J'allais peut-être me rendre assez loin pour eviter l'explosion de l'Obus.
Je glissa entre les jambes d'un autre corrompu : J'y était presque

Et puis l'éclat.

Je reçus un coup de poing puissant en pleine figure de la part d'un corrompus: il en avait tellement.
L'explosion arriva dans mon dos par la suite et me propulsa loin...loin...loin

J'étais dans les airs.
Je tenais toujours mon arme.
J'approchais d'un batiment et puis je fit un face à face avec ce que --

Le noir of the night.

La fumée commença à s'élever au-dessus de Berglen. Une fumée ocre. L'explosif avait détonné. Je ne voyais plus Night, il avait disparu. Mais les corrompus qui l'entouraient aussi avaient sauté, et pas un peu. Certains s'étaient même retrouvé dans la mer, tellement ils avaient été touchés. À cet instant, les canons du navire en avant de moi se déployèrent. Je ne pouvais continuer à regarder cette ville.

-Rechargez moi ce canon au plus vite. VOUS! Tirez où je vous l'ai indiqué et que ça saute!

Les hommes du canons ayant fait faux tir se mirent immédiatement à recharger, à repréparer. L'autre canon était frais et dispo. Un petit calcul d'angle, de longueur, et de distance, et un décompte rapide se fit entendre. Détonation. L'obus partit directement où il devait aller. Il toucha le navire en plein milieu, là où se forment les rassemblements. Mais si la malchance nous guettait depuis le début de l'escarmouche, nous avions maintenant un revirement. Les navires marchands sont construits d'une faible et mince couche de fer, simplement pour soutenir la marchandise, et nous des obus de canons. Le nôtre traversa, j,en suis sûr, tous les ponts du navire. Celui-ci produit un puissant craquement sourd et terrifiant, signe d'une seconde épave à bientôt se devenir. Mais les corrompus n'ont pas d'esprit. À les regarder, on a l'impression qu'ils vénèrent le bushido. Même si le navire commence à craqueler, les canons de proue continuent à être chargé. Bref estimation. Ils auront le temps de tirer une fois.

-Mettez-vous à couvert. Dans les cales. Abbandonnez vos postes.

Je regardai ma montre. 4 minutes. C'était parfait. Aussitôt, à la suite des cannonniers, je couru vers le centre, alors que Night me revint à l'esprit. Je tatai immédiatement ma poche, mais paralysa.

«Bon dieu... Le talkie-walkie.»

Aussitôt, je regardai vers ma cabine, et changeai de directement. J'escaladai les marches quatre à quatre, et ouvrit brusquement ma porte. Il était là, au sol. Il avait du tomber suite au choc. Par contre, il était rendu sur une autre fréquence. Le son typique de tempête de neige se faisait entendre. Je m'en emparai, remis la fréquence à notre poste. Plus de tempête de neige... Premier soulagement, sa machine n'était pas non-fonctionnelle. J'appuyai sur le bouton et lançai :

-Night! Night! Ici Finster! Au rapport?

Je ne sentais plus rien, j'étais dans un vide absolue. Le noir enveloppait ma vue complètement. La seule chose que j'arrivais à voir concrètement était moi même. J'étais clair comme si une lumière puissante m'éclairais, mais les alentours n'étaient que néant. J'essayai de bouger sans succès. Étais-je mort ? Très probable , avec les multiples coups que j'ai reçu et l'explosion de l'obus... et le face à face n'importe qui serait mort. Mais suis-je n'importe qui? Oui... j'avais seulement privilégié d'un meilleur entraînement: J'avais été entrainé depuis ma naissance pour tuer.

J'entendis alors au loin une voix que je reconnus presque aussitôt:
-Night! Night! Ici Finster! Au rapport?

Je tentai de répondre mais ne réussis pas à bouger mes lèvres. Je ne comprenais pas: J'étais paraplégique ? Dans un état critique? Pourquoi je voyais ça ? ...
La voix se répéta en une sorte d'écho au loin encore une fois. Je tentai de bouger de toute mes forces. Je forçai comme un force-née pour tenter de me déprendre de l'emprise du néant. Encore. Encore.

D'un coup tout me revint clairement, ça fit l'effet d'un solide coup de poing au ventre. J'en avais le souffle coupé, toute la douleur revint m'attaquer et des bruits d'explosions insupportables dans mon état actuel vinrent m'attaquer les tympans. Je réussissais maintenant à bouger mais à peine et avec une douleur intense dans tout les membres: Me semble que je n'avais pas été touché partout? C'est surement à cause de l'explosion et du face à face...
C'est alors que j'entendis encore une fois l'appel , mais cette fois la voix était tout proche:
-Night! Night! Ici Finster! Au rapport?

Je me demandai d'où ça venait mais je vis, en tournant la tête, mon walki-talki au sol. Il était apparemment très résistant pour un objet aussi ''cheap''. Je me laissai tomber sur le côté et pris le dispositif de communication avec difficulté, je pressai sur le bouton:
- *tousse tousse* ... Le tout va bien capitaine: L'obus a mit hors de contrôle , moi, et les créatures. Je vais tenter de continuer la mission dans mon état actuel ... mais si possible ça serait apprécié quelques premiers soins... j'ai plusieurs hémorragies externes et probablement interne...

La voix était faible. La voix était rauque. La voix était à bout de souffle. Mais elle était là, bien existante, bien vivante. Et je la reconnaissais, me transmettant péniblement ces informations :

- *tousse tousse* ... Le tout va bien capitaine: L'obus a mit hors de contrôle , moi, et les créatures. Je vais tenter de continuer la mission dans mon état actuel ... mais si possible ça serait apprécié quelques premiers soins... j'ai plusieurs hémorragies externes et probablement interne...

Night était blessé. La ville était plus peuplée que ce que j'imaginais. Le walkie-talkie en main, les yeux regardant par la grande vitre, je voyais le navire devant moi couler, mais surtout les trois boulets qui venaient de partir des canons de proue.

...

Anticipation.

...

Réaction.

...

Je me suis retrouvé au sol par moi-même, avant l'impact. Mon navire les prie les trois en plein dans sa proue. Une secousse solide. Tout le navire fut ébranlé, tout comme un peu plus tôt. Une fois la secousse terminée, je collai mon oreille sur le sol. Aucun bruit suspect, sauf celui de mécanismes s'enclanchant. Pas de fuite. Pas de coulement. Aussitôt je me relevai.

«Night ne réussira pas seul.»

Solennellement, j'enlevai mon long manteau noir, qui tomba sur ma chaise derrière moi, laissant découvrir une veste de cuir brune, détachée. Mon plastron de métal, armure de ma vie, était visible, à découvert. Je zippai mon veston... Initheriel était là. Pendant à ma ceinture, sa posture, sa grandeur et sa majesté guidaient mes pas dans leur avancée. Ma casquette qui m'honorait capitaine tomba, laissant découvrir une coiffure courte, disciplinée. Capitaine Finster avait disparu. J'étais maintenant devenu un soldat, un guerrier. Mon épée, mon plastron, et ma fureur, remplaçaient la démarche, la beauté et la stratégie. J'ouvrai la porte qui sortait de la salle de contrôle. Je descendis les marches.

«J'arrive Night...»

La navire qui avait attaqué notre navire disparaissait dans les abîmes. La voie était libre. J'arrivai sur le pont. Les canots de sauvetage était vers le milieu du navire, je mis dirigeai, faisant dos à la ville. Soudain, il y eut un déclic. Je lachâ un léger coup d'oeil sur ma montre. Je souris.

«C'était l'heure.»

Je ne me retournai même pas, mais je su ce qui venais de se produire. Derrière moi, une explosion d'une ampleur terrible se déchaîna dans le port. Le dernier navire marchand, avait été touché par deux nouvelles torpilles. Les flammes montèrent dans les airs. Les nuages disparurent sous la chaleur. Sur le pont je continuai d'avancer, dans ce moment infernal, ou les flammes de la victoire s'élevaient derrière moi, rasant le dernier morceau de fer entre l'imperator et Berglen...

(cool guys don't look at explosions xD)

Finster ne prit pas la peine, de me répondre encore. D'habitude je ne doutais de rien... mais maintenant je me demandais si j'avais parlé assez fort pour qu'il m'entende. Je lâchai le walki-talki et me retournai difficilement vers la vue du port: Le bateau à Finster approchais, il m'avais donc entendu et il venait à ma rescousse? Je lui est pourtant dis que je pourrai finir cette mission seul... mais ses intentions sont bonnes , comme tout bon capitaine il viendra sauver les membres de son équipage en danger. Je levai mon bras gaucher avec grand mal et m'agrippai le L'avant bras droit.
Je devais libérer assez d'énergie électrique pour me remettre d'aplomb... pas les 10 000 volts d'un coup. Je fermai les yeux et pris une grande inspiration. Dois'je le faire? C'est le maître qui m'avais montré cette manoeuvre, mais il m'avait indiqué autrefois de l'utilisé seulement si ma vie était en jeu.. c'était un peu le cas mais finster arrivait éventuellement.
Mais mon honneur était en jeu. Je serrai ma poigne sur mon bras droit et tentai de laisser sortir de l'énergie peu par peu. Je sentais l'électricité, un choc puissant me fis crier mais je serrai les dents et continuai. un autre choc, moins fort. Un autre de la même force. Et puis un d'une puissance infernale. Je lâchai un cris sec qui ressemblait plutôt à un gémissement et me cognai la tête contre le mur en arrière de moi à cause du choc.
De le courant électrique parcourait maintenant mon corps, je le sentais. Quand je regardai mon bras droit il y avait de petites éclaires bleu qui s'entrechoquaient une fois aux 5 secondes. Alors j'ai réussis la technique du maître: Le corps-éclaire. Je ne savais même pas que j'allais l'essayer un jours mais je l'avais fait.
Tout ça c'était passé si vite, pour aucune raison, j'avais aucune fierté dans ce que je venais d'accomplir. Je vis Finster accoster et descendre de son navire de guerre: le dernier bateau ennemi venait d'exploser à coté de lui: Toujours aussi surprenant...toujours.

Je me levai, contrairement à ce que je m'attendais c'était sans douleur. Je regardai mes mains électrifiés: Wow

J'empoignai mon arme, elle s'électrocufia d'un coup sec: Cette technique... c'était quoi.

Je me mis à courir dans la direction du port: je sentais mes pas plus légers et les bâtiments défilais plus vites qu'a l'habitude à côté de moi. Je stoppai d'un coup sec et me demandai ce qui se passais: C'était donc bel et bien cette technique, comment j'ai pu la maîtriser aussi facilement? Impossible... impossible impossible
Je devais en avoir le coeur net.

Je courrai en direction du mur et sautai vers celui-ci de manière à atérir les deux pieds sur le mur du bâtiment. Je restai collé, comme ça.
J'en étais maintenant sûr.
Je courrai sur le mur jusqu'en haut et sautai à une hauteur impréssionante. Je retombai sur le toit et courrai en direction de finster. arrivé au bout du toit je sautai le plus loin que je pouvais : Je planais presque littéralement dans les airs et attérris à quelques mètres de Finster. Mes blessures devaient êtres bien apparentes et ma L'électricité qui me parcourrais le corps non plus mais tout ce que je dis était un ordre: ce que je n'avais jamais fais auparavent avec mon capitaine:
- Nous devons nous dépêcher, je ne pourrai pas tenir cette forme un éternité.

Alors que je finissais la traversée sur la chaloupe qui m'avait éloignée de l'imperator, j'admirais les décombres du dernier navire de la flotte corrompue qui défendait Berglen. Peu importe ce que ça l'avait parue, elle n'avait pas été difficile. C'est à peine si elle s'était défendue. Mais je compris vite que le gros des forces de Norvège ne résidaient pas dans la flotte, mais bien dans les êtres sur terre. Pour que Night appelle à l'aide, il fallait vraiment qu'il y ait eu des problèmes. Parlant du loup, je vis Night, sur la berge, arrivé alors que nous allions accoster, mais il n'était pas normal. Une sorte de scintillement l'activait. Il était... différent. Mais peu importe. Les comportements magiques n'étaient pas de ma juridiction, je laissai ça au érudits et aux fous de ce monde. Le frottement de la chaloupe vint annoncer mon arrivée, et je debarquai sans manières, marchant directement vers Night.

-Désolé mon ami. Je ne pensais pas t'envoyer à l'abbatoire ainsi.

Je sortit Initheriel, qui scintilla et qui dans mon esprit, hurla une faim victorieuse et glorieuse. Son poids disparaissait dans mes bras, et elle se fondait dans mes mains.

-D'autres hommes auraient été inutiles. Faisons tomber l'hôtel de ville, et la basse-ville sera à nous. Il sera facile de s'y établir par la suite.

Malgré mon optimiste, je voyais les corrompus remonter les décombres de l'explosion. Ça ne serait pas une partie facile.

-Désolé mon ami. Je ne pensais pas t'envoyer à l'abbatoire ainsi.
-D'autres hommes auraient été inutiles. Faisons tomber l'hôtel de ville, et la basse-ville sera à nous. Il sera facile de s'y établir par la suite.

Je hochai la tête affirmativement , pour répondre à toutes les questions mais je pris la peine de m'expliquer:
- C'était mon choix, capitaine initheriel. J'ai fais partir mes hommes intentionnellement sachant qu'ils seraient blessés où tué à place de me faire aider, ça aurait probablement augmenter mes chances d'en sortir indemne mais faut dire que cet obus n'a pas aidé. D'autres hommes sont inutile temps que nous sommes nous deux en Étant de combattre mais quand je vais perdre toute mon énergie nous auront besoin d'eux, je vous suggère seulement de les laisser sur le qui-vive au cas où. Pour ce qui est de la démarche à suivre pour l'instant , je me permet de suggérer selon ma connaissance du terrain: tout tuer jusqu'à notre objectif.

Le courant parcourais mon corps intensément, je me sentais un plaine force et si je ne bougeais pas rapidement je sentais que j'allais exploser:
- Je m'excuse capitaine, je vous expliquerai plus tard

Sur ce, les corrompus s'amassèrent et commencèrent leur charge. Je levai mon épée déjà empoigné et en serrant ma poigne l'électricité dans l'arme augmenta. Je sautai dans les airs et atteris à côté d'un corrompu en lui tranchant le bras droit d'un coup de lame, mais malgré que la blessure était non mortelle, il tomba au sol raide mort après avoir été parcouru par les volts de mon arme:
- Ça promet...

«Inutile de répondre, les paroles sont futiles dans ces situations.»

Voyant mon collègue prêt à décoller, je la pris par la poignée. Elle était solide. Elle était froide. Elle était prête. D'un mouvement lent, je la retirai du fourreau. Un cillement, telle une lame qu'on aiguise, vint nous irriter l'oreille, jusqu'à ce que les 1m 50 de sa taille soient au grand complet devant moi. Ma deuxième main, bien que cela soit inutile, vint se poser sous la première. Ils étaient trois. Trois s’avançant vers moi, des armes improvisées à la main. Ils n’étaient pas conscients de ce qu’ils faisaient. Ils n’étaient pas conscients de ce qu’ils étaient. Je devais mettre fin à cette souffrance. De tout son long, Initheriel prit son élan vers l’arrière, et violemment, alors que les corrompus courraient vers moi, elle s’abattit en cercle devant moi.

J’ai toujours été réputé pour ma force, et celle-ci me fut d’une précieuse aide dans ce combat. Les trois corps flasques furent divisés, fissurés, déchirés en deux. Initheriel passa au centre, détruisant les trois fragments de vie que représentaient ces corrompus. Les corps tombèrent… lacérés. Initheriel brillait maintenant d’une rougeur inconnue, insoupçonnée. Elles perlaient sur la lame métallique. C’était les premières, mais certainement pas les dernières. Devant moi, l’allée continuait entre deux batîments, finissant sur les décombres de l’obus. L’explosion avait laissé plus d’une centaine de cadavre au sol, mais là, un vingtaine fonçait sur nous deux. Sans me faire prier, je fonçai vers l’ennemi, en proie à une faim inégalée.

(J’espère j’ai pas fait trop OP)