Un nouvel arrivé

(je n'étais pas sûr si c'était bel et bien ici qu'il fallait poster)

Je marche, je marche et je marche.
Dans le village le plus proche tout ce qu'on m'indiqua était la forêt des Ardennes. L'on dit qu'une forteresse de l'espoir y était construite, un endroit de paix et de sérénité. Ça fesait un moment que je recherchais un endroit pour pleinement épanouir mon désir de sauver le monde et après avoir entendu parler de ce nouveau district je ne pu m'empêcher d'aller au moins y jetter un coup d'oeil.

C'est ainsi que j'entrai dans cette magnifique forêt qui avait été le théatre autrefois de la deuxième guerre mondiale... et ces satanés nazis qui revenait: Malgré ma nationalité Allemande je ne peux pas tolérer ces fous. Même qu'un certin dégout de ma nation s'installai en moi à cause du retour du Reich.
Mais je ne devais pas trop penser à ça, pour l'instant tout ce qui comptait était que ces tueurs aidaient les gens: pour l'instant du moins.

Je me retrouvai à marcher dans les bois magnifiques des Ardennes, la lune volait dans le ciel si calme me protégeant de ces satanés rayons de soleil... malgré ma combine de protection ça restait très chaud la dessous quand ces rayons me frappes de plein fouet et même encore pire que bien ce que des gens peuvent endurer.
Mais pour l'instant , tout était beau, la forêt était sauvage et je dû esquiver plusieurs racines. Au bout d'un moment je voulu sortir la lame de ma canne et couper le feuillage me harcelant sans cesse mais je ne comptais pas dévoiler mes armes à quiquonc pourrait m'Espionner: faut pas oublier que je suis carrément dans un processus d'infiltration involontaire et que, armes sorties, je me ferais dégommer à vue.

J'arrivai dans une petite zone de la forêt où le feuillage était moins abondant et j'en profitai pour observer autour de moi: Que de la forêt à perte de vue. Je ne peux pas me permettre de sortir mon équipement pour escalader l'arbre, je soupirai pour moi même:
- Et bien, voilà que je m'embarque dans une escapade en forêt sans campement ni provisions... mais en quoi suis'je un génie! Rahlala...

J'observai encore les alentours, puis, ne voyant rien d'intéréssant ou de potentiellement utile pour me retrouver, je me laissai tomber assis au sol, me reposant les muscles.

Un pauvre et innocent voyageur marchait seul dans les bois.

l'équipe tactique 17 Nord, à 200 mètres dans les airs, se secoua un peu et regardi l'homme au travers de jumelle

Mark chuchota a Trotsky
`
:- Ey ya un gars en armure , je crois, qui marche par de là la vallé. J'entre en procésus d'observation...

Trotsky soupira

:- Ah MERDE , pas moyen de passer une soirée tranquile.

Mark chuchota et renchéri

:- Ah , c'est ça qui se passe quand on est dans le 17 Nord.

Trostky encore

:- Putain..

Mark, un peu froissé , dit sèchement

:- Va tu faire le rapport radio ou tu attends qui se rende par lui même...

Trotsky
:- C'est bon , c'est bon...
...
:- Département central , département central : Ici Tactique 17 Nord ; On a repèré un individu non hostile à 150 mètres de notre position. Quel procèdure enclanchons nous ?

6 secondes s'écoulairent

:- Ici Département Central , enclanchez la procèdure d'acceuil, mais restez vigilant, on vous envois les hôtes...

Trotstky répondu

:- Bien reçu; On attend.

Mark fit signe à Trotsky de réveiller les deux autres et dit

`:- Il s'approche, il est à 100 mètres , mais immobile.

Trotsky répondu avec un air affable

:- Les hôtes arrivent... On doit continuer à le surveiller...

Mark

:- Parfait , je le garde en joue , mais avec le cran de sureté.


....

30 minutes passèrent quand soudain 6 hommes armés de différent types de mitrailleuses arrivèrent en 4 roues.

Ils déssendèrent un après les autres, millitairement, à 10 mètres de l'homme. Ils pointèrent leur armes vers lui et celui derrière, qui n'avait qu'un revolver, s'exclama

:- Déclinez votre identité !

...

Mark dit dans un petit rire narquois

:- Sa y est , ça commence ! Héhé

Ça fesait un moment que je me reposais assis au sol. J'avais pris le temps d'observer la forêt encore une fois: les feuillus y étaient plus abondants que les conifères... remarque plutôt inutile mais qui passe le temps. Je me levai un peu pour chercher un chemin ou un sentier sans trop m'éloigner de mon point actuel sans succès: des buissons et des petites plantes recrouvraient le sol. Si il y avait eut des traces de pas je n'aurais suremment pas été en mesure des retracés même avec un talent inoui dans la matière.

Après ces observations j'allai m'assir au pied d'un arbre dans la zone dégagée et je sortis de mon sac en bandoulière une pomme que j'avais ceuillis dans un pommier à l'orée de la forêt. Elle était succulente, une bonne pomme verte juteuse, j'avais bien fais de la prendre: C'est toujours la bienvenue un repas comme celui-ci pendant un voyage.

C'est après un autre 15 minutes à attendre que tout à coup j'entendis des grondements de moteur au loin. Je figeai: Des ennemis ou des alliés? Si ils ont pas prient la peine de se camoufler c'est qu'ils devaient venirs en ami... peut-être aussi qu'ils ne m'ont pas encore remarqué: dans les deux cas je ne dois pas me montrer hostile, je dois chercher à discuter. Suremment qu'ils savent des choses sur le fameux district 10.

Je me levai et pris ma canne en main: on est jamais trop prudent, lorsqu'ils arrivèrent. Ils ont débarqués de manière militaires sans m'attaquer à première vue ce qui indiquait qu'ils souhaitaient des informations et qu'ils savaient que j'étais la: mes précautions s'avèrent de meilleures en meilleures. Ils pointèrent leurs armes vers moi et celui à l'arrière qui semblait être le chef m'ordonna de m'indentifier. Je n'y voyait aucun inconvénient:
- Bonjour messieurs

L'homme ne parut pas satisfait de la réponse, je continai avant qu'il ne dise quoi que ce soit:
- Je me nomme le Krahe. Je suis ici en quête du district 10, peut-être auriez vous la gentillesse de m'informer sur ce sujet braves gens?

Je levai les bras sur les côtés en tenant toujours ma canne pour montrer que je n'étais pas armé et que je ne me méfiais pas d'eux.

L'homme derrière camoufler par la pénombre de la nuit (difficile a constater) sembla offusqué de l'attittude condescandente de l'homme et de son aise trop évidente

Il rugit donc en disant..

:- Ey ! C'est moi qui pose les questions ici !

Il prit un temps et s'exprimma

:- Alors tu va bien m'écouter si tu veux pouvoir voir le jour... Tu va laisser tomber tout ce que tu as dans les mains sur le sol DEVANT toi , à une bonne distance ! Et garder les mains en l'air, comme tu le fais si bien.

Puis tu va ensuite avancer d'un pas ralentis vers moi. Quand je te dirais STOP , tu devras arrêter de marcher.. Ah oui ! Aussi tu ne dois faire Aucun mouvement brusque si non c'est la fin...
... Prêt

Va S'y !

Vous entendites les cran de sureté se désanclancher, dans un bruit simple et direct.

Des Lumuières surgirent vers vous, venant des 4 roues.

Vous pouvez entrevoir dans les regards, maintenant plus clairs, la sereinité

Ils n'étaient pas hostile , il semblait en simple procèdure... Ils avaient des visages aucunement affecté par la colère et même certain par l'ennuie même... (sauf le superieur vexé)

Ils semblaient toutefois demeurer prudent à votre égard.

Peut-ËTRE n'avait-t-il pas eu la chance d'avoir des invités fréquament.

L'homme que j'avais interloqué prit du temps à repondre , il rugit:
:- Ey ! C'est moi qui pose les questions ici !

Je l'avais frustré, peut-être était-il suceptible cet homme. Mais je n'en tint pas compte plus qu'autre chose car ses hommes ne semblaient pas offusqués du tout: il devait être rare de voir un intru aussi sympathique, de plus, je n'étais pas un intru volontaire car je ne savais même pas que j'étais maintenant dans le territoire de ce peuple. Je baissai un peu les bras toujours en les tenants sur les côtés, je m'agenouillai au sol à la manière d'un chevalier en me servant de ma canne comme appuis. Ce n'étais pas ce qu'il avait demandé mais je fis mon possible pour ne pas paraître hostile:
- Désolé si je vous ait offusqué, mon ami. Je ne voulais pas être impertinent et de plus je ne savais pas que j'étais sur le terrain de quelqu'un, veuillez accepter mes plus grandes excuses. Je ne referai plus la même erreur je vous le promet.

Je me relevai et m'inclinai à la manière d'un noble anglais. Je montrai ma canne à mes interlocuteur en l'avançant un peu vers l'avant, mais les lumières provenant du véhicule récréatif M'éblouissais intensément. Je pris quand même la parole comme je voulais le fair en montrant ma canne:
- Monsieur, c'est pas que je ne veux pas respecter vos lois, mais: je ne peux vous laisser ma canne. Elle me sert d'appuis dans mes moments de faiblesses.

J'hésitai un moment, voyant les gardes toujours pointer leurs armes sur moi, mais je continuai esperant qu'ils aillent un peu de sympathie: Si c'était vraiment des hommes du district 10. Si c'est des oppresseurs, je devrai me charger de les abbatre: tâche qui me tentais guère:
- Vous voyez... j'ai une maladie rare, le lupus érythémateux systémique. C'est une maladie non contagieuse qui nous rends vulnérables au soleil. Moi, depuis que je suis qu'un jeûne enfant que j'ai cette maladie atroce et avec le temps elle s'est développée: je ne peux même pas toucher à un rayon de soleil sans que ma peau subisse une combustion grave. Mais même avec cet accoutrement le soleil me rend vulnérable, donc je me sert de cette canne de famille pour marcher et soutenir mon poid. J'espère que vous comprenez, soldat d'expérience. Ça aurait été un honneur de suivre vos directives mais je ne peux pas me le permettre.

Je m'inclinai encore une fois mais de manière brève et à semi complettée.

Les hommes se regardèrent un après les autres avec un air incertain et puis par la suite regardèrent le capitaine. Laissant croire qu'ils avaient confiance en vous... Le Capitaine demeurait encore incertain.

Un d'entre eux fit élever sa voix en disant

:- Ey J'ai Hâte de r'trouner chez nous criss ! ON le l'amène tu ou on reste icite à se gler le cul encore !

Automatiquement le capitaine en était encore plus offusqué

il dit d'une voix impérative et haineuse

:- Soldat Ferland ! Fermez votre Gueule ! Vous aurez un rapport au Centre !

il tourna son regard vers vous et poursuivi plus calmement mais tout aussi stricte et froid.

:- Je vous croit moi aussi. Gardez votre canne. Approchez Maintenant , calmement et d'un pas ralenti vers moi et je vous le répète encore. AUCUN mouvement Brusque !

Les hommes relevèrent leurs fusil sur le épaule et vous gardèrent dans leur mire.

Le capitaine redit, mais d'une voix plus impatiente.

:- Approchez , on vous conduiras vers le district 10. Ceci n'est que procédure. Vous êtes escorter.




Plus haut, Mark dit à Trotski

:-Soit, Ça commence à devenir sérieux ou le gars a envie de parler philosophie. Ça fait 10 minutes que la procédure est lancé et ils n'ont pas bouger de là.

Trotski parut moins affable que précédemment, il semblait même inquiet

:- J'espère que ce n'est rien de grave...Je crois que je vais les contacter en bas, sur radio.

Mark dit, l'aire sérieux

:- T'es cinglé ! On va brûler leur couverture si c'est un ennemi.


Trotski parut songeur et dit

:- Je vais contacter le centre alors...Ils doivent avoir un rapport de la rencontre, aussi bien le faire nous mêmes...

Mark répondu découragé

:- Cela parait que tu n'es pas du tactique 17 Nord... Nous devons contacter le centre QU'EN CAS D'URGENCE. C'est à eux de faire le rapport...

Il fini en disant

:- On va se contenter d'attendre encore. On réagit uniquement quand il y a des coups de feu.


Trotski fit signe d'accord.

Les homme semblaient sympatiser avec moi, même si il y avait un peu de mensonge dans ce que je venais d'affirmer. Je hochai la tête et m'avançai tranquillement car l'homme à l'arrière semblait s'impatienter. Ils gardaient leurs armes biens braqués sur moi malgré le fait que je sois malade ce qui voulait dire qu'ils me voyaient toujours comme une menace ou que leur procédure était anormalement rigide: C'était pas très amical pour un district qui se vante de son amabilité.

Une fois arrivé près d'eux ils me dirent de monter à bord de leurs véhicule motorisé, je ne protestai pas et montai à bord. Ils semblèrent brandire des menottes mais le chef de la petite compagnie hocha la tête négativement: ils trouvaient probablement pas nécéssaire de menotter un malade. Mais ça n'empêcha pas que trois gardes me pointe avec leurs armes en embarquant. C'était vraiment une procédure conservatrice...

Le moteur démarra et le chef se mit au volant pour appuyer sur l'accélérateur presque aussitôt. Et la voya s'entama, il ne fut pas long mais vraiment irritant avec tous ces Gentlemans qui m'opprimaient avec leurs... si ils savaient à quel point je n'étais pas en situation d'infériorité.
le quatre roues s'arrêta brusquement et tous les soldats débarquèrent et se mirent en rang , sauf le chef et un autre soldat qui me collèrent leurs armes dans le dos en me disant d'avancer. Je débarquai, bien évidemment, et allai jusqu'où ils me poussèrent. Je restai là un moment, debout, en me demandant pourquoi ils m'avaient ammené ici lorsque tout-à coup quelque chose de gigantesque tomba au sol d'un coup sec et bruyant. Normalement j'aurais fais un saut magistral dans le sens contraire mais je sentais que les soldats étaient confiant, donc je restai sur place contrairement à ce que mes instincs me disaient. Le poid de taille était en fait un gigantesque ascenseur fait en bois

On m'ordonna d'entrer et c'est ce que tous les autres soldats firent sauf un qui resta à côté du véhicule motorisé.
(suite dans le bureau de Finlay)